L’HISTOIRE DU GFCA VOLLEY

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notre histoire

Une belle histoire de plus de 50 ans

Apparue, en 1967, la section volley-ball du Gazelec a longtemps cherché sa voie, avant de gravir tous les échelons au début des années 1990. Premier club dans une discipline collective en salle à se hisser parmi l’élite, le GFCA Volley-ball est un des rares représentants du sport corse à ce niveau.

Longtemps parent pauvre au niveau du sport ajaccien en particulier et insulaire en général, le volley-ball fut longtemps considéré comme une pratique de loisir estival, une discipline dite de plage. Espérer une place au soleil dans de telles conditions, relevait donc du miracle. Il lui fallut en définitive surmonter de nombreux handicaps, en raison notamment de sa discrétion au plan national, mais aussi faute de cadres et de structures. Pratiqué en plein air aussi bien en scolaire qu’au plan fédéral, il eut toutes les peines du monde à sortir de son isolement, souffrant de l’hégémonie du football mais aussi de la concurrence du basket et du handball (accédant à la N3 en 1974) bien mieux implantés et précurseurs de la structure omnisports du GFCA.

C’est en 1967 qu’il apparut comme section de la future grande maison « Gfceiste » avec une petite quinzaine de licenciés. Face à l’ASPTT, le RC Bastia, l’O.Bastia, il disputa donc les premiers championnats régionaux, sous l’égide d’un comité corse instauré en 1967 et placé sous la présidence du Dr Geronimi, maire de Calacuccia (René Cordoliani et Raymond Henrard lui succédèrent).

1974 le premier « voyage »

A l’époque le champion de Corse pouvait s’il le souhaitait, accéder au championnat d’excellence régionale en compagnie de clubs de la ligue Côte d’ Azur. Il y fit donc ses premiers pas en compagnie de l’olympique Bastia en 1974, avec pour entraîneur-joueur un certain Antoine Exiga.

Le 26 octobre 1974, lors d’un déplacement à Monaco, le Gaz effectua ainsi ses débuts dans une compétition dépassant le cadre des deux départements corses. C’est avec la régionalisation de l’île et l’instauration d’une ligue le 17 avril 1982 (sous la présidence de Gérard Cocquet à qui  succéda Antoine Exiga en décembre 1986) que la discipline (gardant ses deux comités départementaux) trouva un cadre plus propice à son essor. Le GFCA fut sacré huit fois champion de Corse lors des dix premières années (de 82 à 92) face à son grand rival le RCB couronné en 86-87 et 87-88 tout en dominant le championnat féminin. Après une tentative sans lendemain avec sa section féminine (tout comme le fut celle précédente du RCB en 83-84 et 85-86) au niveau d’une compétition nationale (N3 de 89 à 91), il décide d’explorer de nouveau horizons, avec son équipe masculine lancée à son tour dans le bain de la N3. Le 6 octobre 1991, il reçoit le GSM Seynois, sans imaginer un instant que ce match marquera le début d’une incroyable aventure.

Son président Antoine Exiga se souvient : « il ne fallait pas renouveler les erreurs commises par les filles. C’est la raison pour laquelle, on a réalisé un recrutement de qualité de manière à éviter la relégation promise à quatre équipes sur douze. Le duo Polonais Kaczynski et Blonski mais aussi Henry et Cuilleret ont parfaitement apporté leur vécu aux locaux et anciens, comme Longuet, Sansonetti, Nanan et Susini ».

1997, l’arrivée

92-93 l’année de tous les records : En s’attachant les services d’un entraîneur-joueur Jean-Marc Duvette pour remplacer le départ de Jacques Longuet, le club affiche ses ambitions, Pascal Relet et Olivier Tordjman sont enrôlés tout comme Thierry Calmet en joker. L’équipe réalise un sans-faute et un cavalier seul (22 victoires). C’est l’année de tous les records avec le titre décerné de meilleur club de N3. « Cela nous a incité à poursuivre nos efforts. La N2 n’était pas une priorité mais elle nous a tendu les bras. Le public a aussi commencé à s’intéresser à notre parcours, avec notamment une journée porte ouverte lors de la venue du Pontet » peut déjà se féliciter le Président Antoine Exiga, accompagné de Philippe Cortey manager général.

93-94 une année d’apprentissage : Jean-marc Duvette nommé CRT à Strasbourg, c’est Olivier Tordjman qui prend les rênes d’une équipe renforcée par l’arrivée de Stéphane Maillard et du polonais Jarzbewski, palliant le départ de son compatriote Kaczynski. Alors que la Fédération va procéder à une restructuration des compétitions, le GFCA vit une saison tranquille d’apprentissage, terminant à une honorable quatrième place.

94-95 accession en N1B : Maignan et Douat sont les renforts de Christian Osty désormais en charge du groupe que deux jeunes (Borelli et Bontoux) intègrent. A mi-parcours, le bilan est remarquable avec onze succès en autant de matchs. L’équipe termine invaincue au Rossini et avec seulement deux défaites (à castres et St Etienne). Elle s’incline aussi à St Nazaire 3/0 lors de la finale retour (victorieux 3-1 au Rossini) pour le titre de champion de France de N2. Le GFCOA poursuit sa progression. Il est classé second club fédéral (N2, N3) et 31eme club français toutes divisions confondues.

LES ANNÉES PROS

95/96 : Christian Osty pose les fondations

Un an pour voir, pour observer, apprendre et une saison pour s’affirmer et accéder à l’échelon supérieur. Lorsqu’il atteint l’antichambre de l’élite et rejoint le monde jadis semi – professionnel, le GFCA vient de passer en quatre ans du niveau régional à celui (National 1.B) regroupant les vingt-quatre meilleures équipes de l’Hexagone. Grand artisan de ce succès, Christian Osty qui a repris le flambeau transmis par Philippe Cortey, Olivier Tordjman et Jean-Marc Duvette parvient au terme d’une saison éprouvante, à maintenir l’équipe par le biais de l’épreuve de rattrapage nommée alors play-down. Elle concerne les quatre derniers qui s’affrontent en matches aller retour et seul le premier, est assuré de sauver sa tête. C’est en s’imposant à Saint-Nazaire au tie-break le 13 avril 1996, que le club gazier avec une équipe soudée emmenée par le jeune et talentueux Fabrice Bry (prêté dans le cadre d’un partenariat par le PUC) gagne ses premiers galons.

96/99 : Frédéric Trouvé installe le club en Pro A

L’arrivée d’un entraîneur confirmé en dépit de son jeune âge (32 ans) apporte l’assurance d’un nouveau langage et d’une nouvelle orientation. Frédéric Trouvé passé par l’ASUL peut s’appuyer sur des joueurs confirmés dont certains au haut niveau international comme le passeur croate Baselovic et l’ancien montpelliérain d’origine malgache Rivo (deux cents sélections à son compteur) pour encadrer des jeunes prometteurs (Rodier, Bontoux, Nanan, Cianfarani) et les cadres de la saison passée (Maillard, Maignan, Relet Douat). C’est les plays-offs (qui ne réunissent plus que six clubs au lieu de huit) qu’il vise et qu’il n’a en définitive aucune peine à accrocher en terminant 4e derrière Bordeaux, Castres et Narbonne, tandis que Harnes et le Plessis Robinson complètent le tableau final. Pour la première fois, le club du président Antoine Exiga dispute une phase finale du Championnat de France de Pro.B. Le 12 avril 1997, il rentre dans l’histoire en dominant Bordeaux au Rossini (3-1) ce qui lui assure un billet pour l’élite. Heureuse coïncidence, il fête cette année là son 30e anniversaire. Le voilà dans la cour des grands avec le PUC, Cannes, Montpellier, Poitiers, Sète, Tourcoing qui sont de véritables places fortes installées depuis des décennies. Confronté à un cahier des charges draconien, le président gazier doit en peu de temps passer d’une structure « familiale » à une « entreprise » professionnelle. Confronté au problème de la salle du Rossini non conforme, il envisage un repli à Vignetta d’autant qu’avec des matches en semaine, le problème de son utilisation va se poser. Son inlassable combat pour que la ville d’Ajaccio se dote d’une salle digne de l’élite démarre véritablement à cette période, d’autant que la section handball – sacrée championne de France de Nationale 1 – vient d’accéder en seconde division et que l’ACSBB en basket joue les premiers rôles en N.2. Côté sportif, Frédéric Trouvé qui a renforcé l’équipe avec le central Canadien Bilodeau, l’attaquant Camerounais Ossosso et le passeur Tchèque Holcik trouve vite ses repères, de sorte que son apprentissage (jamais elle ne descendra sous la 10e place) se passe relativement sans encombre. Septième au soir de la 21e journée, le Gaz se prendra même à rêver de play-offs avant d’accuser le coup (en étant aussi privé de son leader d’attaque Ossoso retenu pour la Coupe d’Afrique) sur la fin. A l’issue de quatre matches en play-down face à Bordeaux et Avignon, il se montrera digne de l’élite en finissant à une honorable neuvième place pour un promu doté d’un tout petit budget. Performance qu’il parviendra à rééditer l’année suivante (ave deux seuls renforts, le pointu Dascalu pour remplacer Ossosso et Pujols à la place de Maignan), malgré le handicap de devoir « s’exiler » dans le minuscule gymnase Michel Bozzi où il fête notamment le 30 janvier 1999, sa huitième année de présence au niveau national (200 matches) en recevant Cannes. Eliminé en match aller (remporté 3-2) et retour (perdu 3-0 puis 3-1 en appui) par Montpellier en barrages (après avoir fini à la 10e place la phase régulière) pour accéder en play-offs, Frédéric Trouvé décide de mettre fin à son aventure avec le sentiment du devoir accompli.

99/01 : Gordan Snajder sauve l’essentiel

Son successeur arrive de Agde en N.1. Il présente un CV impressionnant au niveau de sa formation et des recherches effectuées une fois une belle carrière (international yougoslave et quatre fois champion avec le Mladost Zagreb) terminée. Spécialiste d’une discipline qu’il a étudié, analysé dans les moindres détails sous la houlette de son professeur Vladimir Jankovic grand manager en Italie, Gordan Snajder a consacré sept publications de documents scientifiques et techniques dans le domaine du volley-ball. Perfectionniste, il va très vite se heurter au quotidien d’un club souffrant d’un manque de structures et confronté au départ de tous les joueurs mis à part Bontoux. Le chantier est vaste et avec un recrutement essentiellement tourné vers les pays de la CEE (en raison d’une enveloppe revue à la baisse), c’est en quelque sorte une année de transition qu’effectue le club, en évitant de peu la dernière place synonyme de relégation. La suivante sera tout aussi délicate sur le plan sportif (le GFCA termine 12e) mais bien plus riche en émotions. La découverte d’une pépite de 22 ans Marek Novotny, la promotion de Frédéric Ferrandez issu de la formation comme adjoint et le superbe succès remporté face à Cannes le 13 janvier 2001 lors du centième du club en Pro.A, font que le club retrouve peu à peu des couleurs et un public, après un exil au Finosello catastrophique en terme d’audience.

01/05 : Jean-Michel Roche donne une impulsion

Des racines et des ailes titre Corse-Matin à l’orée d’une cinquième saison parmi l’élite qui voit à la surprise générale, débarquer à Ajaccio Jean-Michel Roche un grand nom de volley-ball français et ancien sélectionneur en 1995. L’homme fort de Poitiers entre 1986 à 1998 sait qu’il a du pain sur la planche, mais son aura, ses réseaux et sa grande expérience, vont permettre au GFCA de jouer les trouble-fêtes en alignant des équipes combatives et spectaculaires. Malgré un bilan mitigé lors de sa première année avec une dixième place, Jean-Michel Roche qui a inculqué une notion de travail va très vite tirer les leçons d’une première expérience qui lui laisse un goût d’inachevé, avec notamment la longue indisponibilité du son capitaine Jean-Philippe Daguerre. Il entend franchir un palier tout en intégrant trois jeunes corses (Jeff Exiga, Jérôme Albertini et Lionel Rodier formé au RC Bastia) dans le groupe professionnel. Le premier fera la carrière que l’on sait au poste de libero qui voit le jour à l’orée de la saison 02/03. Sixième à mi-parcours avec 20 points, le GFCA porté par le talent de Novotny mais aussi des guerriers de la trempe de Atanassov et Peris manquera d’un souffle (9e ex æquo avec Rennes à deux petits points de Cannes 8e) une qualification directe en play-offs. Malgré l’amertume d’un challenge d’un rien raté, Jean-Michel Roche estime que le club a franchi un cap. Déplorant sans cesse l’absence d’une salle dont le dossier pourtant initié en 2001 n’avance pas, il envisage néanmoins l’avenir avec sérénité. A nouveau neuvième l’exercice suivant qui a vu l’arrivée à 37 ans du charismatique passeur Laurent Chambertin (350 sélections) et d’Alexander Jioshvili pour pallier le départ de Novotny (meilleur marqueur de Pro.A en 2003) parti faire les beaux jours de Cannes, le GFCA rate – en raison d’un set average négatif par rapport au huitième Avignon – l’occasion de transformer sa saison en véritable réussite (le 7e Montpellier affichant qu’une unité d’avance). « Le haut niveau est de plus en plus exigeant et nos handicaps sont chaque année plus marquants » note Antoine Exiga en voyant l’écart se creuser inexorablement. L’ère Jean-Michel Roche prendra quant à elle fin un an plus tard au terme d’un championnat pénible où, le club sentira le vent du boulet en se sauvant à trois journées de la fin grâce à un succès face à Dunkerque au Rossini (3-2 après avoir été mené 0-2). « Ajaccio est aujourd’hui un club respecté mais il est voué à jouer les testeurs de talents et à tenter des paris. Si le projet de la salle dont j’ai entendu parler depuis mon arrivée ne se concrétise pas, il ne pourra pas se développer » tire en conclusion un technicien, voyant en son adjoint Frédéric Ferrandez le parfait profil pour lui succéder.

05/06 : l’expérience N’Gapeth tourne au cauchemar

Ancien international de renom et entraîneur reconnu pour être passé par Cannes, le PSG et Poitiers le franco-camerourais présente une belle carte de visite pour prendre la relève de celui qu’il a déjà remplacé (en décrochant aussi le premier tire de champion) du côté de Poitiers. Avec dix nouveaux joueurs, il doit rebâtir sans prendre de risques au niveau financier, un peu de la même manière que ne l’avait été contraint de faire Gordan Snajder sept ans plus tôt. Le fait est, qu’entre les arrivées tardives, le faux bond de dernière minute du passeur tunisien Guidara et les problèmes de qualification à l’O.M.I ainsi que les obtentions de visas, l’intersaison s’avère catastrophique. Le recrutement est raté avec des joueurs improbables voire blessé comme Jarolim lors d’une saison où apparaît un nouveau barème de points. A l’arrivée, c’est un fiasco et un cauchemar avec trois petites victoires et un total de neuf points. « C’était mission impossible » déclare N’Gapeth. « Le club est maintenant à un tournant de son existence » répond le président Antoine Exiga qui va devoir faire les bons choix, pour tenter l’opération remontée. En accordant sa confiance à Frédéric Ferrandez, il fera le bon.

06/14 : Frédéric Ferrandez impose sa griffe

Avec l’intronisation du jeune Ajaccien âgé de 31 ans, c’est un nouveau cycle qui démarre pour la section volley du Gazélec. Fait de haut et de bas lors des trois premières saisons avec une remontée immédiate en 2007, suivie d’une descente en 2008 et d’un autre rebond avec en prime un titre de champion de France de Pro B en 2009, il s’avère chaotique mais confirme que le club est suffisamment solide pour se sortir de situations dangereuses. A partir de 2009, il va enfin recouvrer une certaine stabilité au niveau sportif. Il est contraint par la Ligue de tourner une page en quittant le Rossini (où il joue son dernier match le 6 avril 2010 face à Montpellier) à l’issue d’une saison 09/10 terminée en trombe, alors qu’il était lanterne rouge au soir de la 23e journée. Installé dans la salle du CREPS qui est aux normes mais ne peut accueillir que trois cents spectateurs, la nouvelle promesse d’un palais des sports livré en 2012 lui donne la force de poursuivre une aventure aux lendemains toujours incertains. « J’ai vraiment pensé à abandonner en voyant que rien n’avançait » nous avouera le président Exiga lassé et souffrant de voir que les promesses faites ne sont pas tenues. Onzième, puis douzième les saisons suivantes, son équipe lui offrira néanmoins la satisfaction d’un premier final four de son histoire en atteignant les demi-finales de la Coupe de France. Beauvais mettra fin le 10 mars 2012 à Paris dans la salle Pierre de Coubertin à son rêve de finale. Félicité pour sa gestion par le DNACG qui n’a pas hésité à reléguer Poitiers et Tourcoing pourtant deux places fortes, le GFCA conserve l’image d’un club sain et sérieux avec des partenaires fidèles et un entraîneur capable de tirer le meilleur d’un groupe. A l’image de celui de 2013 finissant dixième, en étant maintenu à sept journées de la fin. « On avance lentement mais sûrement, sans brûler les étapes » peut se réjouir Ferrandez fier du chemin accompli. Comme d’autres, il n’imagine pas un instant en découvrant lors de son inauguration en septembre 2013 le majestueux Palatinu que le club tout entier s’apprête comme d’un coup de baguette magique, à basculer dans une toute autre dimension. Huit mois plus tard, son équipe contre toute attente après avoir déjà assuré son billet pour l’Europe, parviendra à se hisser sur le podium de la Ligue A après avoir échoué d’un rien (battue deux fois au tie-break) aux portes d’une finale en play-offs face à Paris. Là voilà déjà dans l’histoire.

2016 : L’année de la consécration

La consécration viendra tout naturellement en 2016 avec une victoire historique en coupe de France face à Rennes 3/2 dans une rencontre qui restera dans les annales. Le GFCA se qualifie à nouveau pour la CEV et intègre le cercle fermé des clubs ayant remporté un trophée national. Organisateur des Supercoupes 2016, le GFCA s’offrira un nouveau trophée devant ses supporters face au champion de France, le Paris Volley après 2h30 de match ! Avec 2 titres majeurs remportés en 2016, le GFCA est définitivement rentré dans l’histoire du Volley-Ball français.

Un remerciement spécial à Jean–Philippe Carrolaggi, journaliste à Corse-Matin

Palmarès :

1993 : Champion de France N3

1995 : Vice champion de France de N2

1997 : Vice champion de France de N1B

1998 : Quart finaliste de la coupe de France

2001 : Quart finaliste de la coupe de France

2004 : Quart finaliste de la coupe de France

2007 : Vice champion de France de Pro B

2009 : Champion de France de Pro B

2014 : 3ème de Ligue A, 1ère qualification en CEV

2016 : Vainqueur de la Coupe de France, Vainqueur de la Supercoupe

2017 : Vainqueur de la Coupe de France

2018 : 3ème de la saison régulière ligue A

Entraîneurs :

91/92 Philippe Cortey

92/93 Jean-Marc Duvette

93/94 Olivier Tordjman

94/96 Christian Osty

96/99 Frédéric Trouvé

99/01 Gordan Snajder

01/05 Jean-Michel Roche

05/06 Eric N’Gapeth

06/..   Frédéric Ferrandez

Grands noms :

Kaczynski, Blonski,  Relet, Maillard, Jarzebski, Bry, Rivo, Holcik, Bilodeau, Ossosso, Dascalu, Novotny, Atanassov, Capet, Chambertin, Roche, N’gapeth, Jioshvili, Lica, Kovalenko, Siltala, Ragondet, Dailey, Jaumel, Exiga, Simovski, Capfer, Pujol, Takaniko, Castard, Petreas, Mineiro, Carle

Historique Championnats Nationaux :

CDF = Champion de France / FP = Finale perdue / PO = Play-offs / PD = Play-down

Saison Division Place Pts Journées Vict Def SP SC Diff
91/92 Nat 3 6 35 22 13 9
92/93 Nat 3 1 CDF 44 22 22 0 60 5 +55
93/94 Nat 2 4 32 20 12 8 43 33 +10
94/95 Nat 2 1 FP 42 24 (22+2) 21 3 65 22 +43
95/96 Nat 1.B (PD) 10 31 28 (22+6) 13 15 53 56 -3
96/97 Pro.B (PO) 4 et 2 32 et 48 30 (20+10) 19 11 71 46 +25
97/98 Pro.A (PD) 9 37 30 (26+4) 13 17 47 61 -14
98/99 Pro.A (PO) 10 33 27 (24+3) 10 17 46 61 -15
99/00 Pro.A (PO) 11 33 28 (26+2) 7 21 32 71 -39
00/01 Pro.A (PO) 12 33 28 (26+2) 7 21 32 73 -41
01/02 Pro.A (PO) 10 32 26 (24+2) 8 18 34 63 -29
02/03 Pro.A 10 36 26 10 16 44 57 -13
03/04 Pro.A 9 36 26 10 16 39 59 -20
04/05 Pro.A 12 32 26 6 20 32 68 -36
05/06 Pro.A 14 9 26 3 23 15 71 -56
06/07 Pro.B 3 51 30 (26+4) 23 7 78 44 +34
07/08 Pro.A 14 18 26 6 20 30 67 -37
08/09 Pro.B 1 CDF 60 26 20 6 67 31 +36
09/10 Ligue A 13 27 30 7 23 41 73 -32
10/11 Ligue A 11 31 26 11 15 45 57 -12
11/12 Ligue A 12 29 26 9 17 44 59 -15
12/13 Ligue A 10 34 26 11 15 47 54 -7
13/14 Ligue A (PO) 3 51 30 (26+4) 18 12 73 50 +23